- un bonus avantageux
- une revalorisation du temps partiel dans le calcul de la pension minimum, ce qui en facilitera l’accès, en particulier pour les femmes
Une transition douce pour les conditions de travail effectif
Ces périodes offrent une prévisibilité indispensable aux travailleurs. Le fait de calculer en jours et plus en années de travail effectif sur l’ensemble de la carrière, permet d’éviter une discrimination à l’égard des travailleurs en temps partiel.
Aucun travailleur qui a 60 ans ou plus aujourd’hui ne devra ainsi remplir une quelconque condition de travail effectif pour accéder à la pension minimum.
Les socialistes ont également âprement négocié pour que ceux qui ont connu des périodes d’invalidité dans leur carrière, voient leur condition d’accès à la pension minimum allégée en conséquence. Nous savons que l’invalidité touche plus souvent les femmes. Nous les protégeons face au risque d’une exclusion du droit à la pension minimum. Les journées de congé de maternité, de congé pour allaitement et de congé pour soins palliatifs sont également considérés comme travail effectif.
Une pension plus élevée pour celles et ceux qui veulent travailler plus longtemps
L’accord nous permet d’encourager positivement le maintien au travail avec l’incitant du bonus pension. Nous allons aussi pouvoir corriger certaines inégalités et injustices flagrantes subies par les femmes aux carrières souvent plus courtes que les hommes. Ce sont des mesures fortes pour les travailleurs et les travailleuses !
Karine Lalieux, Ministre des Pensions
On y est ! Accord en kern sur trois nouvelles mesures de réforme #pensions.
— Karine Lalieux (@karinelalieux) July 18, 2022
👉 plus de pension via la revalorisation du temps partiel et le bonus pension
👉 valorisation du travail effectif pour l'accès à la pension minimum mais avec une protection des femmes et invalides