Égalité femmes-hommes
De nombreux mécanismes de protection ont été renforcés sous cette législature afin d’offrir une pension digne aux travailleur·euse·s à la fin de leur carrière : augmentation de la pension minimum, le droit annuel minimum, reconnaissances de périodes assimilées.
Les femmes ont notamment bénéficié de ces protections supplémentaires. En effet, elles ont souvent des carrières plus courtes et plus hachées que celle des hommes, et ce, pour diverses raisons : l’arrivée d’un enfant, imposition d’un travail à temps partiel au lieu d’un temps plein, etc.
Grâce aux périodes assimilées, les personnes qui choisissent de consacrer du temps aux soins pour des proches, très majoritairement des femmes, continuent malgré tout à se constituer une pension. C’est un droit que les socialistes défendent ardemment. Je ne permettrai jamais que des mesures linéaires soient prises au détriment des femmes.
Karine Lalieux, ministre socialiste des Pensions
Une étude du Bureau du Plan, service qui analyse les politiques publiques, révèle que l’octroi de la pension minimum et du droit annuel minimum a ainsi réduit l’écart de pension de 37 à 31%.
Toujours selon les conclusions du Bureau du plan, si ces minimas n’étaient pas appliqués, les femmes seraient les premières à être victime d’une diminution de leur pension :
➡️ Une diminution de 11% pour les femmes salariées
➡️ Une diminution de 44% pour les femmes indépendantes
➡️ Une diminution de 26% pour les femmes qui ont eu une carrière mixte (salariée/indépendante)
Accord sur la réforme #pensions !
— Karine Lalieux (@karinelalieux) July 10, 2023
✅Introduction d'un bonus progressif pour soutenir le maintien au travail
✅mesures de protection pour les femmes face à la condition de travail effectif 💪
Et ce en plus de la revalorisation historique de la pension minimum @PSofficiel
Le combat continue pour atteindre une parfaite égalité devant les pensions entre les femmes et les hommes.