Les jeunes en situation de handicap âgés de moins de 21 ans étaient jusqu’ici confrontés à un paradoxe. Ils bénéficiaient d’une allocation familiale majorée mais celle-ci réduisait le montant du revenu d’intégration sociale (RIS). En d’autres termes, il s’agissait de donner d’une main pour reprendre de l’autre. Cette diminution de revenus créait une angoisse financière pour ces jeunes qui ne sont plus à la charge de leurs parents.
La ministre en charge des Personnes en situation de handicap, la socialiste Karine Lalieux, a mis un terme à cette situation absurde. Désormais, la majoration de l'allocation familiale pour les personnes en situation de handicap n'entraînera plus une baisse de leur revenu d'intégration sociale (RIS).
Tout le monde doit pouvoir mener une vie digne et autonome, et cette mesure y contribue. […] Nous veillons à ce que ces bénéficiaires en situation de handicap aient une chance supplémentaire de s’émanciper.
L’objectif de cette mesure est triple : favoriser l’autonomie de ces jeunes en leur donnant toutes les armes en main, augmenter leur pouvoir d’achat et lutter concrètement contre le risque de précarité auquel ils sont davantage exposés.
Pas à pas, nous améliorons la situation des personnes en situation #handicap dans notre société #begov
— Karine Lalieux (@karinelalieux) July 20, 2023
La majoration de l'allocation familiale pour les jeunes en situation #handicap n'entraînera plus une baisse de leur revenu d'intégration sociale #RIS
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