Le PS souhaite que la santé mentale devienne une « grande cause nationale » lors de la prochaine législature et que l’ensemble des autorités compétentes s’attèlent à la mise en œuvre rapide d’un nouveau plan interfédéral de santé mentale doté de moyens suffisants à la hauteur des défis constatés dans ce domaine.
Plus précisément, le PS propose de :
- Faire en sorte que le recours à des soins de santé mentale chez les enfants et adolescents ne soit plus tabou en généralisant l’approche préventive en milieu scolaire et singulièrement la prévention des assuétudes ;
- Renforcer les moyens consacrés à la prévention du suicide ;
- Développer les équipes mobiles de soins psychiatriques ;
- Accorder une attention particulière à la santé mentale des aînés ;
- Renforcer les soins ambulatoires en santé mentale en jouant à la fois sur l’offre de soins (via une amélioration de la couverture territoriale de l’offre soins) et sur la demande (en supprimant toutes les barrières financières à l’accès aux soins des psychologues) ;
- Renforcer l’offre de soins résidentiels en santé mentale en développant les capacités d’hébergement de transition et en augmentant la programmation dans les maisons de soins psychiatriques.